CAPiTec au jamborée mondial au Japon

Voici le témoignage de Bruno, membre de CAPiTec depuis quelques années, et ayant vécu cet été une expérience inoubliable :

 » Bonjour, je suis Bruno, un compagnon du groupe de Palaiseau Villebon.
Il y a bientôt 2 ans, le groupe de la vallée de Chevreuse fit appel à des bénévoles pour un rassemblement scout territorial. J’ai répondu à l’appel, et j’ai reçu une formation sur le matériel de sono. L’expérience m’a tellement plu que je suis resté dans le groupe pour d’autres sonos. De fil en aiguilles, le domaine m’a de plus en plus passionné.
Cet été je suis allé en tant que bénévole au Jamboree mondial au Japon. Étant le plus grand rassemblement de scoutisme au monde, il y avait donc aussi la plus grosse sono des rassemblements scouts au monde ! (L’objectif ultime pour un scout ingé-son amateur). N’ayant rien à perdre, je me souviens que tous les gagnants ont tenté leur chance !! Nous avons donc décidé, mon culot et moi, de sympathiser avec les scouts japonais de la sécurité, me permettant d’accéder au pied de la régie, puis avec l’ingé-vidéo, seul anglophone de l’équipe, me permettant d’accéder aux tables de son sous la tutelle de l’ingé-son principal.
Ça y est. Le rêve était là. J’étais à la régie d’un Jamborée mondial. Sur les 3 cérémonies, je pouvais d’abord « seulement » regarder à la première, puis j’ai pu aider à ranger, ce qui m’a permis de faire des branchements pour la seconde cérémonie, puis même de toucher (un tout petit peu) à une des tables lors des premières balances de la cérémonie de fermeture. Et ce n’était pas fini ! Le soir, l’ingé-vidéo, après avoir partagé son diner avec moi au sein de son équipe d’ingé-son, me passe un casque de chantier et me propose de démonter les enceintes en grappes , ainsi que les panneaux d’écrans géants. Voilà. C’est ce que j’ai pu vivre comme expériences de fou au Jamboree, en plus des nouvelles amitiés liées sur le domaine du son, suite au temps donné par l’équipe d’ingé son.
En osant, j’ai réussi à réaliser un rêve donné par Capitec. Merci !
Bruno Boisseau.  »

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